Alice Cooper
IT'S TIME TO BE A GIRL NOW, AND BIG GIRLS DON'T CRY.
- MESSAGES : 129
- INSCRIPTION : 01/02/2013
- PSEUDO : lauu _
- AVATAR : emiliederavin.
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AGE: twenty six yo.
SECRETS:
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 | | Sujet: alice ◮ on dit que l'amour est à un pas de la haine. recule. Ven 1 Fév - 16:49 | |
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alice, cooper
c'est dans le mensonge que la vérité commence.------------------------------------------------------ ✮ PRÉNOM : Alice. ✮ NOM : Cooper. ✮ ÂGE : 26 ans. ✮ SIGNE ASTROLOGIQUE: Lion. ✮ ACTIVITÉ PROFESSIONNELLE : Serveuse. ✮ SITUATION AMOUREUSE : Célibataire. ✮ ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuelle. ✮ TRAITS DE CARACTÈRE : Tantôt douce, tantôt tigresse, déterminée, passionnée, solitaire, simple, rancunière. ✮ AIME : L'art, peindre, les soirées au calme à regarder un bon film devant la télé, les balades nocturnes, la pluie, le chocolat, sa blondeur. ✮ AIME PAS : Le mensonge, perdre le contrôle, sortir, les foules, l'alcool, les sensations fortes, l'orage, les serpents, les hôpitaux. ✮ GROUPE : Chandelier.
UN BEAU ROMAN ÇA VEUT DIRE QUOI MENTIR ? Cela signifie tout simplement que l'on cache la vérité pour différentes raisons. Mais d'une manière positive, je vois cela comme une omission que l'on ferait, afin de protéger notre entourage. COMMENT AS-TU RÉAGI EN APPRENANT LES DISPARITIONS ? Comme beaucoup d'habitants, j'ai été choquée et j'ai paniqué dans un premier temps. Je ne m'attendais pas à ce que ce genre d’évènements aient lieu dans notre petite ville. Depuis cette annonce, je ne suis plus tranquille. Je me dis que cela peut se reproduire n'importe quand et n'importe où. Et que la prochaine victime pourrait très bien être moi. Personne n'est jamais à l'abri. ROSEWOOD T'EN PENSES QUOI ? Ma ville natale est tout à fait comparable à une autre, elle ne se distingue en rien de particulier. Si ce n'est le fait que je ne me sens pas chez moi en dehors d'ici. Mes racines, ma vie, mes amis sont à Rosewood. J'y ai vécu la plus grande partie de mon existence, c'est pour cela qu'elle tient une place spéciale à mes yeux. J'aime l'environnement, les commerces, les constructions, les habitants aussi. A mon humble avis, il y fait bon vivre et je suis heureuse d'y être née. J'y ai construit un tas de souvenirs, et j'espère pouvoir en comptabiliser encore bien d'autres. En bref, j'aime Rosewood et je ne la remplacerais pour rien au monde. QU'EST-CE QUE TU NOUS CACHES ? Comme tout le monde, il y a pas de choses que je préfère garder pour moi. Et honnêtement, mes secrets n'en seraient plus si je les révélais à n'importe qui. Il faut savoir garder une part de mystère. RACONTES NOUS QUELQUES ANECDOTES, TICS, PÊCHES MIGNONS QUI FONT CE QUE TU ES. J'aime regarder les étoiles. • Souvent, je dors jusqu'à plus de midi et me couche à plus de minuit. • Je ne peux pas m'empêcher de grignoter devant des films. • J'ai toujours les ongles vernis. • Je ne supporte pas les voisins bruyants. • Si je croise un serpent, je peux devenir totalement hystérique. • J'ai tendance à me ronger les ongles quand je suis anxieuse. • Je cache très bien quand je vais mal. • Je peux devenir une vraie peste lorsque je n'aime pas quelqu'un. • J'ai toujours voulu avoir un chien. • Je suis une véritable accro au chocolat, et ne passe donc pas une journée sans en manger. • Lorsque j'ai besoin de me détendre et que je suis énervée, je peux fumer cigarette sur cigarette. • J'enroule souvent une mèche de mes cheveux autour de mon index. • Je mange rarement au petit-déjeuner car je ne peux rien avaler. • Je craque complètement devant les enfants. • J'ai une peur bleue des orages et passe de nombreuses nuits blanches à cause de ceux-ci. • J'aime beaucoup me promener sous la pluie. • J'angoisse quand je dois prendre l'avion. • Je n'utilise que du shampoing à la noix de coco. • Je ne supporte pas de traîner dans un hôpital, allez savoir pourquoi. • Je suis fière d'être blonde, et je l'assume complètement. UNE BELLE HISTOIRE
 Je m'appelle Alice. De mon nom complet, Alice Beverly Cooper. Je suis née un certain 26 juillet 1986, il y a déjà 26 ans de ça, à Rosewood, une petite ville. Je n'ai pas eu une vie digne d'un conte de fées, mais j'ai su m'y accommoder. Mon père ayant quitté ma mère avant même ma naissance, je ne l'ai jamais connu, et n'ai même jamais cherché à faire sa connaissance. Ce qu'il avait fait à ma mère était quelque chose que je ne pouvais pas supporter. Cette dernière, il l'avait abandonnée sans ménagement et ne s'était même pas inquiété de sa grossesse. Depuis, ma mère ne s'en est jamais remise. Tout ce qui était en mon pouvoir pour lui faire penser à autre chose, pour la faire rire ne serait-ce qu'un instant, pour la soutenir, je l'avais fait. Mais sans succès. J'en venais même à me demander si elle avait vu tous les efforts que je faisais pour qu'elle retrouve sa joie de vivre. Selon moi, elle ne devait pas se gâcher la vie pour un homme comme celui-ci. Mais je n'avais visiblement pas réussi à lui faire entendre raison. Toute mon enfance, j'avais entendu ma mère se plaindre, et rien de ce que je pouvais dire ou faire n'arrangeait les choses. Elle se laissa complètement couler, puisqu'elle en arriva même au point de lâcher son boulot du moment. Je me retrouvais donc à 11 ans, entrant tout juste au collège, à devoir subvenir à mes besoins seule. C'est ainsi que je commençais à travailler au black chez quelques voisins, et d'autres personnes inconnues qui habitaient plus loin encore. Je ne rentrais chez moi que tard le soir, dans la nuit noire, sans que personne ne se soit inquiété pour moi, pas même celle qui était supposée être ma mère.
 Assise par terre, dans un coin de ma chambre, je réfléchissais. Ou du moins, je le faisais autant que me le permettait mon cerveau sérieusement endommagé actuellement. Ma mère venait de me punir, quelle ironie. Elle, qui ne faisait clairement plus attention à moi depuis quelques années maintenant, avait soudainement eu un flash quant au rôle qu'elle devait tenir. Je n'allais pas m'en plaindre, ou alors c'est que je le faisais dans toutes situations. En fait, j'avais sûrement fait une connerie aujourd'hui. Je dis aujourd'hui, mais ce n'était pas la première fois à vrai dire. C'est juste que ce jour-là, je venais de me faire prendre en flagrant délit. J'avais touché à des produits illicites, bien que je tenais tête à ma mère, en lui affirmant le contraire. Je ne l'avais pas fait de mon plein gré évidemment. Disons plutôt que, dans un premier temps, j'avais voulu tester comme la plupart des jeunes, encouragée par des 'potes'. Et le fait est que je m'étais rapidement prise au jeu, et qu'il semblait de plus en plus difficile de tout arrêter. Si bien que je n'essayais même plus. Les années passaient et mon addiction devenait de plus en plus importante. Au début, tout allait assez bien, je me payais mes doses avec l'argent que j'avais accumulé jusqu'ici, en plus de ce je gagnais encore grâce à mes petits boulots réguliers. Mais il finit par devenir évident que cet argent amassé sortait plus vite qu'il ne rentrait. Et je n'arrivais plus à suivre entre mes études et le boulot. Pourtant, il me fallait ma dose, c'était vital. C'est alors que les galères commencèrent pour moi. Tout d'abord, je piochais et 'empruntais' ce qu'il pouvait rester un peu de côté à ma mère, ensuite, je me mis à voler plus dangereusement, et j'allais même jusqu'à mendier quand il le fallait. Quelquefois, tout cela ne suffisait même plus, et mon dernier recours était de vendre mon corps. Je ne le faisais pas de gaieté de cœur, mais avais-je vraiment le choix ? Pour stopper tout ce désastre, il fallait simplement que j'arrête cette merde, je le savais pertinemment, mais j'en étais juste incapable.
 Maximillian. Celui que j'aurais pu rebaptisé comme étant mon ange gardien. Notre rencontre fut pour le moins originale. J'avais encore passé une soirée à essayer d'accoster tout un tas de mecs, en espérant qu'ils me payent grassement pour que je puisse m'acheter ce dont j'avais besoin. Max m'avait arraché aux bras d'un quinquagénaire, en me proposant le double de ce que m'offrait l'homme précédent. Pour moi, c'était gagné. Plus j'en avais, plus cela m'arrangeait. Sauf que visiblement, il n'attendait pas la même chose que les autres. Je me rendis compte de cela quand, arrivés chez lui, il s'assit et me regarda simplement, attendant que je dise quelque chose. Je ne savais pas pourquoi, je me sentais en confiance avec lui, et je m'étais confiée, chose qui m'avait fait le plus grand bien. Suite à ces confidences, il m'avait pris sous son aile, me proposant différentes options pour me sortir de cette addiction qui me bouffait la vie. Plus les jours passaient, plus je me sentais bien en sa compagnie. Je baissais ma garde, comme jamais je ne l'avais fait auparavant, et lui faisait de même. Ce que je voyais de lui me touchait, sa présence me rassurait, et je ressentais comme un besoin de lui permanent. Jusqu'à ce que notre premier baiser soit échangé. A ce moment-là, je ne savais plus très bien ce que Max représentait à mes yeux. Tout ce dont j'étais certaine, c'était qu'il m'avait apporté ce que personne n'avait su me donner auparavant. Et il avait changé ma vie, en y ôtant le côté sombre.
 Et pourtant, le conte de fées vira rapidement au cauchemar. Après au moins une belle année, je ne m'attendais pas à ce que j'allais voir. J'étais rentrée un jour, totalement innocemment, et j'avais trouvé Max en bonne compagnie. C'était le cas de le dire puisque je l'avais surpris avec une autre fille. J'avais tenté de maîtriser les larmes qui menaçaient de couler, mais je ne voulais surtout pas lui faire ce cadeau. J'avais donc pris mon courage à deux mains, afin de mettre un point final à notre histoire. Suite à cela, j'étais restée quelques temps encore à Rosewood, tentant de comprendre ce qui avait pu lui arriver pour qu'il me fasse ça. Je n'avais rien lâché et avait même continué à lui envoyer des tonnes de messages, auxquels je n'avais évidemment jamais eu de réponse. Ne supportant plus son ignorance, et au vue de la relation que j'entretenais avec ma mère, je ne comptais pas faire de vieux os ici. J'avais besoin de prendre l'air, de voir autre chose, d'oublier toute cette histoire qui m'avait fait autant de mal que de bien, et de m'éloigner de ma mère aussi. Je rejoignais alors la capitale de notre état. C'était un tout autre mode de vie, et j'avais l'impression de repartir du bon pied. Je ne mis d'ailleurs pas longtemps à m'habituer à cela et à m'intégrer. Je vécu ainsi une belle année, loin de tout ce qui m'avait fait souffrir. C'est ainsi qu'après cette petite parenthèse enchantée, je ressentis le besoin de retrouver mes racines. J'avais tenté de refaire ma vie ailleurs, loin de tous ces mauvais souvenirs que je pouvais traîner, mais j'avais rapidement compris que je ne me sentirais jamais chez moi en dehors de Rosewood. Je rentrais alors dans ma ville, un brin plus forte, et fin prête à affronter mes vieux démons.
✮ PSEUDO : Lauu _ ✮ PRÉNOM : Laurine. ✮ ÂGE : 21. ✮ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM ? J'avais fait une recherche de scénario, et on me l'a proposé sur Concept-RPG. ✮ AVIS/COMMENTAIRES : Il est parfait, c'est pour ça que je suis là  ✮ AVATAR : Emilie de Ravin. ✮ AUTRES : 
Dernière édition par Alice Cooper le Dim 3 Fév - 1:07, édité 22 fois | |
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Kane Redstone
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AGE: 28 ans
SECRETS: Gère un réseau de trafic de drogues et d’armes + A tué un homme de sang-froid, n’éprouve aucun remords. Est prêt à recommencer pour obtenir ce qu’il veut + Recherche des informations par la manière forte sur les disparitions, notamment sur Elsa + Est complètement perturbé depuis le retour de son ex en ville. En est toujours amoureux.
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| | Sujet: Re: alice ◮ on dit que l'amour est à un pas de la haine. recule. Ven 1 Fév - 17:33 | |
|  Emilie est juste parfaite  Excellent choix  Bienvenue à Rosewood Jolie blonde  | |
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| | Sujet: Re: alice ◮ on dit que l'amour est à un pas de la haine. recule. Ven 1 Fév - 22:30 | |
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| | Sujet: Re: alice ◮ on dit que l'amour est à un pas de la haine. recule. Sam 2 Fév - 1:31 | |
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Merci à toi, et je n'hésiterais pas si besoin 
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