✮ INITIALS BB.

Invité

beauregard, blythe
i'm going back to the start

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✮ PRÉNOM : Blythe. Aucun commentaire, la miss ne l'apprécie pas. C'est toutefois son unique prénom, ses parents préférant faire dans le sien. ✮ NOM : Beauregard et oui, c'est français. C'est un patronyme que porte Blythe sans trop de joie, ne voyant aucune fierté de porter ce nom pourtant si connu dans le monde des affaires. ✮ ÂGE : Elle s'apprête à acquérir sa majorité le cinq juin, elle aura donc vingt-et-un ans. Enfin! ✮ SIGNE ASTROLOGIQUE: Née sous le signe des Gémeaux. Elle n'y apporte pas grande importance, elle ne s'y connait absolument pas dans ces trucs. ✮ ACTIVITÉ PROFESSIONNELLE : Bien que son compte en banque - merci papa - soit plutôt bien gâté, Blythe tient à passer un peu de temps à bosser même si ce n'est qu'occuper un petit poste de serveuse à mi-temps. Elle est également étudiante en journalisme, elle rêve de devenir reporter et voyager. Quitter Rosewood. ✮ SITUATION AMOUREUSE : Célibataire et cela lui convient plutôt bien. Il n'est pas rare de la voir rentrer chez elle avec de beaux garçons qui disparaissent au levé du jour, elle s'amuse, elle est jeune, et cela lui convient totalement. ✮ ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuelle, elle n'a jamais réel trouvé attirance chez les femmes. ✮ TRAITS DE CARACTÈRE : Douce, tendre, naïve, jalouse, têtue, curieuse, impulsive, bavarde, fiable, fidèle, loyale, attentive, passionnée, indépendante. ✮ AIME : Faire la fête, écrire, lire, écouter de la musique, chanter sous la douche, les beaux garçons, les bonnes ambiances détendues. ✮ AIME PAS : Le milieu huppé de ses parents, rester assise à rien faire, les lundis, cuisiner, perdre aux jeux vidéos, que sa voiture tombe en panne, être en retard. ✮ GROUPE : Matraque.

UN BEAU ROMAN

ÇA VEUT DIRE QUOI MENTIR ? Mentir? Blythe penche la tête légèrement sur la droite, se gratte légèrement la tête avant de retourner à sa position initiale. Ne pas dire la vérité. Pour une raison ou une autre. Bon, personnellement, je n'ai rien à cacher et je suis une bien piètre menteuse, donc je préfère directement être honnête sinon cela se transformerait rapidement en catastrophe. Mentir, je pense que la définition peut varier selon la gravité des faits mais l'idée de base est la même : ne pas être honnête. COMMENT AS-TU RÉAGI EN APPRENANT LES DISPARITIONS ? Je panique les gens! Elle s'autorise une petite moue moqueuse envers elle-même. C'en est pathétique bien que totalement justifié. Mon père voulait carrément me coller des gardes du corps mais j'ai pas voulu. À des moments je regrette, j'ai tendance à exagérer mes réactions. La dernière fois j'étais sous la douche, l'ampoule elle a claqué, je vous dis pas la crise de la panique.. Blythe remet une mèche de cheveux derrière son oreille et reprend d'un air un peu plus grave. Toutefois, c'est difficile pour tout le monde. Je connais..sais quelques unes des victimes et je vous avoue que je me suis sentie hyper mal pour leurs proches en apprenant ce qui leur est arrivé. J'espère que l'on va bientôt les retrouver.. ROSEWOOD T'EN PENSES QUOI ? Elle hésite un instant, hausse les épaules. J'ai grandis ici. J'aime cette ville, je veux dire, c'est calme et tout le tralala mais je vous avoue que j'ai hâte de partir. Changer d'air. Je n'ai pas trop d'avis sur la ville, en fait. C'est étrange, après vingt-et-un ans, bientôt, passés ici.. Je suis mitigée entre ce dont j'ai envie et le fait qu'ici, c'est chez moi. QU'EST-CE QUE TU NOUS CACHES ? Moi? Sérieusement? Elle rejette sa tête en arrière et laisse échapper un léger rire. Je suis la pire menteuse du monde, croyez-moi, si je vous cacherais quelque chose, ça serait écrit sur mon front et je serais rouge comme une pivoine! Je ne cache rien du tout. Pas de petits secrets pour moi, désolée. RACONTES NOUS QUELQUES ANECDOTES, TICS, PÊCHES MIGNONS QUI FONT CE QUE TU ES.
+ Blythe a grandis dans un milieu très bourge où chacun de ses gestes étaient contrôlés, observés et corrigés si besoin. Elle a été très couvée et très surprotégée, surtout de la dure réalité qui est la vie des personnes aux revenus modestes. Aujourd'hui "libre", rien que le fait de faire ses courses dans un supermarché elle-même, ça l'éclate. + Fille unique, elle a toujours souffert de cette condition. Elle n'avait que très peu d'amis à l'époque et c'était tous des fils à papa. Elle rêve de fonder une grande famille dans les années à venir, avec pleins de marmots qui ne se sentiraient pas seuls tellement ils seraient entourés. + Elle parle couramment anglais, français, espagnol, italien et russe et possède quelques notions d'arabe. Elle avait le choix entre des activités extrascolaires plus artistiques mais son choix s'est tourné vers les langues, vu son projet d'avenir. Elle regrette un peu désormais, elle aurait bien aimé apprendre à faire du piano ou de la guitare, finalement. Elle a été élevée en anglais et en français et sait parfaitement prendre l'accent de son père, chose qu'elle s'amuse à faire quand elle l'imite. + Bien que son père soit français, il a toutefois passé une grande partie de sa vie à Rosewood et Blythe n'a jamais aperçu la France. Quant à sa mère, c'est une américaine de bonne famille qui n'a épousé Mr Beauregard que pour pouvoir rester à la maison à rien faire et vivre plutôt confortablement. + Son père est à la tête d'une entreprise de communication et publicité internationale, héritée de son père. Fille unique, le devoir de Blythe est de reprendre le flambeau une fois que son père sera trop vieux mais elle s'y refuse totalement et l'a bien fais comprendre à son paternel. + Naturellement blonde, elle s'est teint les cheveux en violet "pour voir" et finalement le résultat lui a plu. Je vous dis pas la tête de sa mère lorsqu'elle a vu cela. + Blythe est de nature plutôt gourmande et passe sa vie à manger des petites gâteries de la boulangerie du coin. Elle aime beaucoup la cuisine (faites lui des lasagnes un peu réussies et elle vous vénèrera toute votre vie) mais, malheureusement, elle est tout simplement nulle derrière les fourneaux, n'y étant jamais allée de sa vie. Toutefois, ça l'amuse d'avoir une tonne de choses à apprendre et cela ne lui fait pas peur. + Depuis qu'elle n'est plus sous l'aile de papa-maman, la miss a eu quelques soucis avec la police du coin. Rien de bien grave, juste des "c'est pas moi, je faisais que passer" (elle est du genre super malchanceuse et à ne pas être à sa place au bon moment) et le fait qu'elle ait été attrapée en état un peu d'ivresse ou dans des bars alors qu'elle n'a pas encore vingt-et-un ans. Mais ça l'amuse et les flics du coin l'aiment bien, donc elle appelle un bon copain à elle et il vient la récupérer et ça fini en rigolade. + Elle n'arrive pas à mentir. Elle devient rouge directement et se met à bégayer. Lorsqu'elle stresse ou qu'elle se concentre, elle joue avec ses cheveux. Cheveux qui doivent forcément attachés lorsqu'elle se travaille, sans quoi, elle finit devant son miroir à tester de nouvelles coupes. + Elle est encore toute innocente et parait fragile mais elle a un fort caractère malgré tout et ne se laisse pas faire, même si elle a tendance à se faire avoir avec quelques mots bien tournées et à cause d'une confiance, donnée à tord trop facilement.

✮ PSEUDO : Hungry Eyes. ✮ PRÉNOM : Aude. ✮ ÂGE : Depuis quand on demande l'âge d'une lady, jeunes gens? ✮ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM ? Bazzart, si mes souvenirs sont bons. ✮ AVIS/COMMENTAIRES : Il est beau et la trame etc, c'est ✮ AVATAR : Perrie Edwards. ✮ AUTRES : Rien à signaler,

Invité

Standing in the hall of fame
And the world's gonna know your name,
'Cause you burn with the brightest flame

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I feel like Rapunzel right now.

Elle n'avait jamais été proche de ses parents. Pour ne pas dire pas du tout. En fait, c'était eux qui gardaient leurs distances. Son père voulait simplement en faire une future femme d'affaires redoutable, classe, jolie et tout ce qui va avec. Sa mère n'en avait pas grand chose à faire, elle ne voulait que son confort. Elle avait été conçue parce qu'il fallait un héritier à la grande boîte Beauregard et manque de pot, c'est une petite fille, carrément pas intéressée de plus est, qui est arrivée. C'était triste d'avoir été crée pour cela, mais Blythe préfère oublier ce sentiment de n'être qu'un meuble de plus chez les Beauregard. Bon, soyons d'accord, un meuble de luxe, parce qu'on se mette d'accord, ce n'était pas le genre de famille à se fournir chez IKEA, vous voyez le genre? Blythe, bon sang, qu'as-tu fais à tes cheveux? Elle s'arrête de mettre ses vêtements dans une grande valise, hausse les épaules en faisant de larges mouvements avec bras, un peu légère et amusée de la réaction de sa mère. Elle avait troqué ses boucles blondes, qu'elle avait réussi à négocier platine vers ses seize ans, pour une couleur qui sortait bel et bien de l'ordinaire. Tout ce que les Beauregard détestaient. Ed, viens voir ta fille, s'il te plait! Ladite fille arqua un sourcil et continua à emballer ses affaires. Elle s'étonnait que sa mère n'appelle pas son père par son prénom en entier. Edgar. C'était charmant comme tout! Elle se sentait un peu rescapée parce que finalement, Blythe, ce n'était pas si moche que cela. Le père arriva, complétant ainsi le beau tableau de famille. Il remonta doucement ses lunettes sur son nez, se demandant bien pourquoi sa femme, qui d'habitude préférait bien le laisser travailler dans son bureau, le dérangeait. Et bien, Blythe! Tu pars où, comme ça? Blythe leur tournait le dos, mais elle entendait très bien et savait pertinemment que sa mère avait donné un coup de coude dans les côtes de son paternel, en murmurant précipitamment "les cheveux, les cheveux!". Elle avait dix-neuf ans, c'était déjà un petit bout de femme et elle avait envie de prendre sa liberté. Vivre sa vie. Voler de ses propres ailes. Voir le monde d'une autre façon. Sortir sa prison dorée. Son père s'y était fait une raison, dans le fond, il savait très bien qu'elle ne voulait pas de la voie qu'il lui avait préparée avant même sa naissance. Toutefois, en bon homme d'affaires persévérant, il n'avait de cesse de lui dire que si elle changeait d'avis, elle était libre de revenir sur ses décisions. Chose que la jeune fille appréciait. Elle savait que son père aurait plus de facilités à la laisser partir que sa mère, même si au fond, Blythe savait qu'il n'avait envie que d'une chose, qu'elle se casse lamentablement la gueule et qu'elle retourne au cocon familial. Je veux partir. Je veux dire, c'est pas une vie, rester là.. Les jeunes de mon âge sortent, font des choses, voient des gens.. Je ne veux pas de votre vie. Trop rangé. Elle ferma sa valise avec difficulté ainsi qu'un carton plutôt volumineux posé à côté, sur ton lit, avec quelques affaires personnelles à l'intérieur. Elle entendit son père soupirer mais elle ne releva pas. Un petit appartement modeste l'attendait dans des coins un peu moins aisés - pour ne pas dire plus aisés du tout - de la ville. Elle lança un dernier coup d'oeil à la chambre qui l'avait accueillie depuis sa naissance, déjà nostalgique. N'hésites pas à revenir. Son père la serra, pour la première fois depuis au moins dix ans en privé et par envie, contre lui, geste qui la toucha. Elle n'était pas proche de ses parents. Mais son père la soutenait. Elle préférait fermer les yeux sur les idées qu'il se faisait. Il ne lui donnait pas une semaine avant de revenir.

Allo? Ethan, c'est toi? Elle murmurait, non pas parce qu'elle ne voulait pas que l'on entende, mais bien parce qu'elle était honteuse de faire encore appel à son ami à une heure aussi tardive. Blythe l'entendit grogner au bout du fil et elle se sentit encore plus coupable. Un an avait passé depuis qu'elle avait commencé à voler de ses propres ailes. Chose qui s'était terminée par un échec cuisant. Mais avec cette force et cette joie de vivre, elle n'a jamais abandonné. Et après, y a eu Ethan. Tu peux venir me chercher? S'il te plait. Elle l'écouta soupira et lorsqu'un rire échappa au jeune homme, cela la fit se sentir beaucoup plus légère et un bout de culpabilité la quitta. Elle savait très bien qu'il se moquait ouvertement d'elle dans sa tête mais qu'il ne voulait pas trop l'enfoncer actuellement. Adorable, n'est-ce pas? Elle se mit à jouer avec les fils du téléphone, un peu nerveuse. Même endroit? T'as fais quoi cette fois? Elle laissa un petit rire lui échapper. C'est l'effet qu'il lui faisait. C'était nul, mais elle l'aimait bien, Ethan. Il était gentil avec elle et l'avait prise sous son aile, venant du mieux milieu qu'elle. Ils étaient pareils, ne supportaient pas le monde de leurs parents. Plus, ils avaient grandis ensemble, leurs pères étant associés, ils se connaissaient bien. Et il était devenu son coloc, son meilleur ami, même si au fond, elle aimerait un peu plus. C'était franchement débile, elle avait envie de pleurer plus qu'autre chose et de se cacher dans un trou jusqu'à la fin de son existence. Ben.. J'avais un peu bu. Ça se voyait pas, arrêtes de rire! Et j'avais pas mes papiers. Anyway, ils me connaissent bien, les flics, mais ils ont préféré me ramener au poste parce que j'étais un peu paumée et j'ai commencé à me plaindre et à flipper parce que tes potes à la con, ils m'ont lâchée en plein milieu de la rue, avec toutes ces histoires de disparition! Soudainement, il s'arrêta de rire. Elle savait que si elle avait arrêté son récit, ma foi très intéressant, plus tôt, il l'aurait taquinée sur le fait que quand elle buvait, ça se voyait comme si c'était écrit au beau milieu de son front. Mais elle avait touché une corde sensible. Les enculés, je vais les tuer. J'arrive, ma poule. Et il raccrocha avant que la douce Blythe n'ait le temps de le remercier. Et merde. Il arriva quelques minutes plus tard, bien énervé. Les cheveux encore en bataille, habillé visiblement à la va-vite, il lui offrit toutefois un sourire un peu forcé en venant la récupérer. Une fois dans sa voiture, il se lâcha, tapa sur le volant. Putain, mais il s'est passé quoi dans leurs têtes? Te laisser comme ça? Je savais que j'aurais dû venir ce soir. Je suis désolé, Blythe. J'aurais peut-être dû insister sur le fait que tu es comme ma sœur. Termina-t-il, laissant son regard glisser vers toi quelques semaines avant de repartir sur la route sans savoir que ses propos avaient blessée la jeune femme comme s'il y était allé avec un poignard. Sa sœur. Elle était sa sœur de cœur. Une boule se forma dans sa gorge et elle n'eut pas le courage de lui répondre. Une petite sœur. Elle n'était que cela.

Bienvenue parmi nous, et fiche validée (pardon du retard). Bon jeu

perrie

bienvenue