Mona ♥ My name is Salmon, like the fish.

Mona V. Salmon
Les femmes sont comme le suspense. Plus elles éveillent l'imagination, plus elles suscitent d'émotions.

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✮ PRÉNOM : Le prénom qui est inscrit sur ma carte d'identité est Mauna-Loa. Ce prénom original est celui d'un volcan Hawaïen, j'en ai hérité car mon père à amené ma mère à Hawaï et c'est là où j'ai été sois-disant conçue. Jamais personne ne m'a réellement appelé comme ça, et c'est très vite devenu Mona. J'ai aussi hérité des prénoms de mes deux grands-mères, Victoria et Jane Mais les gens vraiment proche me surnomme Pepper. ✮ NOM : Mon père ne m'a pas donné beaucoup de chose, mais la meilleure de ces choses, c'est quand même mon nom Salmon, ce qui m'a permit de réclamer de quoi vivre quand j'en ai eu besoin. ✮ ÂGE : Je vais bientôt entamée ma 24ème année. ✮ SIGNE ASTROLOGIQUE: Gémeaux ✮ ACTIVITÉ PROFESSIONNELLE : Je n'ai pas d'activité professionnelle, je peux travailler quelque fois, si j'en ai l'envie, mais c'est rare. De toute façon, j'ai un compte en banque bien rempli. ✮ SITUATION AMOUREUSE : Malheureusement je n'ai pas encore trouvé mon âme soeur, je suis célibataire. ✮ ORIENTATION SEXUELLE : Je suis hétérosexuelle mais pas fermée à de nouvelles expériences ✮ TRAITS DE CARACTÈRE : Souriante ♥ Séductrice ♥ Rancunière ♥ Jalouse ♥ Manipulatrice ♥ Sarcastique ♥ Bornée ♥ Déterminée ♥ Têtue ♥ Rusée ♥ Curieuse ♥ Susceptible ♥ Dépensière ♥ Capricieuse ♥ Fouineuse ♥ Franche ♥ Imaginative ♥ Intrépide ♥ Opportuniste ♥ Surprenante ♥ Fainéante ♥ Impatiente ♥ ✮ AIME : Lire, surtout les romans policiers/thrillers/horreur/fantastique ou des drames; Les animaux, mes préférés sont les chouettes, les loups, les ours et les oiseaux, sauf les pigeons et les mouettes; L'argent, j'en ai manqué pendant une partie de ma vie, maintenant que j'en ai, je profite; Le shopping; La pluie & les orages; Le sucré; Séduire; La vie; Nager; L'eau; Florence and The Machine; Ms. Mr.; Se promener la nuit ou tôt le matin; Les orchidées blanches; Les bonbons à la violette; Les films d'horreurs; Tegan and Sara; Faire du vélo; Se promener en rollers ✮ AIME PAS : Mon père; Le café; Le thé; Les insectes; Les clowns; Les araignées; Qu'on me dise quoi faire; Les hôpitaux; Les psychiatres; Le verglas; Qu'on me rappelle ma 'bêtise'; Les histoires d'amours; Les amoureux qui s'exposent; Les gens qui subissent sans rien faire; Les macho; Les filles stupides; Les gens qui exposent leur vie; Les mariages; Fêter mon anniversaire; L'accent anglais ✮ GROUPE : Chandelier

UN BEAU ROMAN

ÇA VEUT DIRE QUOI MENTIR ? Pour moi, mentir c'est façonner la vérité pour qu'elle soit plus facile à vivre. Il y a certaines choses, qu'on ne souhaite pas dévoiler à la terre entière, alors on a le choix entre mentir ou se taire. Je préfère me taire, mais mentir ne me fait pas peur, j'aime ça même, l’adrénaline qui parcoure le corps, la peur que l'autre découvre la vérité, un vrai régal! COMMENT AS-TU RÉAGI EN APPRENANT LES DISPARITIONS ? C'est effrayant de savoir qu'on peut disparaitre en une seconde et être retrouvée morte, voir pire jamais retrouvée. Je suis de tout cœur avec la famille mais pour tout vous dire, je préfère que ça soit arrivée à eux plutôt qu'à moi.ROSEWOOD T'EN PENSES QUOI ? Depuis toute petite, je viens y passer mes vacances, ma grand-mère avait une maison ici, elle me l'a légué, et je compte bien la rénover le temps de finir ce pourquoi je suis ici. Je ne suis pas revenue depuis mes 16 ans, depuis mon petit 'accident', et j'adore toujours cette ville. Même si son image est noircit par les disparitions, elle n'en reste pas moins, pour moi, une ville idéale. QU'EST-CE QUE TU NOUS CACHES ? Vous jurez de ne rien répéter? Attention, si j’entends quoi que se soit, je deviendrai votre pire cauchemars, votre Freddy Kruger, et je risque d'être beaucoup plus sadique que lui! Surtout de me juger pas. Ma mère avait quelques problèmes pour payer le loyer, alors elle s'est mise à voler, et j'ai commencé à faire de même. Aujourd'hui, je n'en ai plus le besoin, mais je n'ai rien perdu de mes années, j'ai beaucoup d'expériences en ce domaine. L'année de mes 16 ans, a été celle des vérités, des découvertes et des désillusions. Comme de nombreuses adolescentes, je suis tombée amoureuse, et ma première fois est arrivée très vite, trop vite même, je n'étais pas prête, mais si je lui ai fais savoir, il n'en a fait qu'a sa tête et l'alcool aidant, il est quand même passé à l'acte. Il m'a largué après car j'étais devenu une 'loque' d'après lui. Quelques mois après, j'ai découvert que ma mère et moi étions la seconde famille de mon père. J'étais la fille illégitime, j'ai appris qu'il ne travaillait pas sur une plateforme pétrolière mais qu'il était PDG d'une multinational, qu'il gagnait des millions et qu'il n'en faisait profiter que sa 'vraie' famille. Ma mère le savait mais cette vie, lui convenait. J'ai donc débarqué du jour au lendemain à New-York, où j'ai informé mon père, que je savais tout et que bientôt sa femme et son autre fille le serait aussi. Il m'a donné une grosse somme d'argent, mais l'histoire s'est quand même su. Sa première femme, trop amoureuse lui a pardonné. Je suis rentrée chez moi et deux semaines après je sautais d'un pont pour me suicider. Par chance, un homme m'a sauvé, j'ai passé un an dans un centre pour jeune suicidaire. Aujourd'hui, mon père s'occupe de moi mais je suis rancunière, et je l'évite le plus possible. Même si il me donne de quoi vivre, ce n'est pas suffisant pour avoir le train de vie que j'ai actuellement. En faite, quand j'ai rencontré ma demi-soeur, on s'est découvert un point commun. On avait eu la même expérience avec les hommes et on détestait toutes les deux notre père. On a donc monté une petite 'escroquerie'. Vu qu'elle est un peu plus âgée, elle se charge de draguer en premier un homme riche, elle fait tout pour qu'il tombe amoureux d'elle et fait tout pour accélérer les choses. Quand la relation est bien établit, j'arrive et je chamboule tout, je drague l'homme, le séduit pour devenir sa maitresse. On met en place une excuse bidon pour que ma demie-soeur se marie avec l'homme. Ensuite, ça dépend, soit je lui fais du chantage, soit un des photos de nous deux apparaissent mystérieusement, et ma demie-soeur demande une grosse somme d'argent pour un divorce à l'amiable ou si il refuse, elle demande la divorce, et avec les photos, il perd beaucoup d'argent. Certes, ce n'est pas très glorieux, mais au fond, on ne punit que ce qui le mérite, les menteurs, les trompeurs. RACONTES NOUS QUELQUES ANECDOTES, TICS, PÊCHES MIGNONS QUI FONT CE QUE TU ES. Je suis une ancienne pauvre, j'ai connu le plaisir d'avoir de l'argent, du jour au lendemain, donc maintenant je dépense sans compter, mais j'aime quand même faire des dons à des associations; Je ne crois plus à l'amour; Mes proches m’appellent Pepper car quand j'étais petite j'ai confondu un poivron et un piment; A mes 18 ans, j'ai eu une bref carrière dans le mannequinat, mais j'ai pas supporter de devoir m'affamer, j'aime trop la nourriture; Ma grand-mère maternelle vivait ici, à sa mort, il y a 3 ans, elle m'a léguée sa maison mais je n'ai pas encore eu l'occasion de venir, elle est dans un sale état, et je compte la rénovée; Même si je ne suis pas originaire de Rosewood et que je n'y ai jamais vraiment vécut, je connais certaines personnes. Je les ai rencontré quand j'étais en vacance, je suis resté en contact avec certaines et j'en ai oublié d'autres; J'ai une lune tatouée au niveau des côtes droites, je l'ai fais après mon 'accident'; Quand je suis énervée ou mal à l'aise, je me mords l'intérieur de la bouche et la lèvre inférieur, passe ma langue sur mes dents et me gratte la tempe gauche; J'adore me promener sous la pluie; Même s je suis riche je n'oublies pas d'où je viens, je fais souvent des dons à des associations; J'ai étudié pendant 2 mois la médecine avant de me rendre compte que je ne supportais pas les plaies ouvertes et les membres cassés; Quand le moment sera venu, je pense exploiter mon imagination débordante pour écrire des romans ou devenir détective privée, mais pour l'instant j'ai d'autres choses à faire; Je suis une peste mais je sais être sympa quand il le faut; Après avoir vu Chucky maintes et maintes fois, j'ai développer une phobie des poupées réalistes, surtout celles en porcelaine; Petite je rêvais d'être ornithologue, créatrice de maison de poupée ou sirène; J'ai pris des cours de théâtre pendant 9 ans, de mes 10 ans à mes 19 ans. Ma mère s'est ruinée pour ces cours, mais ça en valait la peine car maintenant je suis une super actrice et menteuse; Je m'adapte facilement à une personne, mon comportement dépend de ce que je veux d'elle ou notre lien; Ma plus grande peur est d'être enterrée vivante, tout ça à cause d'un cousin qui à la plage s'est amusé à m'ensevelir de sable, j'avais que 8 ans; Je ne fête jamais mon anniversaire car c'est aussi le jour où j'ai été violé; J'ai passé 1 an au centre Jefferson, un centre pour suicidaire, c'est là où j'ai appris à intérioriser la majorité de choses

✮ PSEUDO : Poppy-Nose ✮ PRÉNOM : Cha'. ✮ ÂGE : 18 ans ✮ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM ? PRD. ✮ AVIS/COMMENTAIRES : J'adore PLL, et faire un RP sur cette série tout en ne gardant pas les personnages principaux est super. Et puis ma présence veut tout dire, sinon je ne serais pas là! ✮ AVATAR : Phoebe Tonkin ✮ AUTRES : Depuis un moment, je fais des allers et retours sur le forum. J'ai enfin eu une idée de personnage, donc me voilà!

UNE BELLE HISTOIRE

On a affaire à une rêveuse totalement déconnectée de la réalité, en sautant elle a du penser qu’elle s’envolerait.

« Être le secret de quelqu’un est difficile à vivre, alors imaginez, être le secret, le mensonge, la honte, la bêtise de votre père. Comment le vivriez-vous ? Je dois vous avouez que moi, je ne le vis pas très bien. »
Dis-je assise sur une chaise en plastique à 20 dollars alors que 8 autres adolescents et un psychiatrique me regardait. J’étais arrivée au centre Jefferson depuis 8 mois, 17 jours, 6h et 17 min. Ne pensez pas que je suis une folle des maths ou que j’aime compter les minutes et les heures. J’étais juste arrivée au centre à le 1er Octobre à 10h du matin, à partir de là, il est facile de savoir la durée de votre hospitalisation. « C’est bien Mona mais pourrait-tu commencer dès le début, j’ai pu comprendre qu’avant la découverte du secret de ton père, tu étais déjà fragile. Qu’est-ce qui t’es arrivée ? Tu veux bien nous le raconter ? » Je souriais, ça avait l’air d’une simple question mais en fait c’était un piège. Il venait de construire deux, l’une menait à ma sortir et l’autre à ma chambre du centre. « Comme si j’avais le choix. » Je l’entendais déjà dire : Mais on a le choix Mona, on a toujours le choix. Je le vis mettre son magnétophone en marche, c’était une obligation, au cas où il y ai un soucis. C’était ça ou une caméra. « J’ai rencontré quelqu’un, la personne la plus belle que je n’avais encore jamais vu. Il était tout ce dont je rêvais, le fait qu’il est deux ans de plus que moi ne me gênais pas plus que ça. Il était sportif, romantique, dôle, gentil et anglais. Son accent faisait fondre toute les filles de l’université mais c’est moi qu’il avait choisi. La jeune lycéenne, la pauvre fille naïf et sure d’elle qui manque d’une figure paternelle. Notre relation devait restée secrète, elle a commencé quand j’atteignais les 2 derniers mois de mes 15 ans, il en avait 18. Pour mes 16 ans mes parents ont organisé une fête chez une de mes tantes car notre maison était bien trop petite. Déjà quand mon père était à la maison on se marchait presque dessus. Je me rappelle, je portais cette jolie robe rouge à volant.» Les souvenir commencèrent à remplacer les images de la salle commune du centre, bientôt je ne vis plus aucun de mes camarades. Je me vis tourner pour faire se lever le bas de ma robe comme le fait une enfant de 7 ans. « Mes parents se sont éclipsés avant le début de la fête et puis les gens ont commencé à arriver. Certains étaient des inconnus mais je m’en fichais, car c’était mon anniversaire et qu’il allait bientôt arriver. Ma fête était super, tout le monde s’amusait, l’alcool entré en cachette coulait à flot. Puis vers les 22h il est arrivé avec des copains, trois garçons et deux filles. Personne ne comprenait pourquoi des étudiants étaient à ma fête, les terminales étaient surpris. Bien sûr il ne m’a pas embrassé, mais l était là et ça suffisait à me rendre heureuse. J’ai bu un peu, nettoyer le vomit de certains et il est arrivé, il avait quelque chose pour moi mais on devait être que tout les deux. Nous sommes montés dans la chambre d’amis, les autres avaient été fermés à clefs par précautions. Il m’a fait fermer les yeux et j’ai sentis quelque chose de froid autour de mon cou. C’était un collier magnifique en or, au milieu un papillon sertie de pierre blanche. Il m’a embrassé dans le cou et ses mains ont parcouru mon corps. Je lui ai dit que je n’étais pas prête, pas ce soir, il m’a jeté sur le lit et a répondu : Tu crois quoi ? Que le collier est gratuit ? Je te le donne par amour ? Tu vas apprendre un truc, gamine, l’amour n’existe pas et rien n’est gratuit dans la vie ! » Et d’un coup le récit est devenu la réalité, j’y étais à nouveau, assise sur le lit, effrayée.
« Ce n’est pas drôle ! Laisse-moi sortir ! » Je me suis levée et j’ai été vers la porte, mais il était devant, il m’a à nouveau jeté sur le lit mais cette fois il le sien à suivit. « Je sais que tu en as envie. C’est ce qu’elle veut toute, soit heureuse c’est toi que j’ai choisis. » Son corps musclé m’écrasait mais j’essayais de repousser ses mains baladeuses. « S’il te plait, fais pas ça ! » A présent, je pleurais, le suppliais, le repoussais et lui s’énervait. J’ai senti sa braguette s’ouvrir. « Non ! S’il te plais ! Je t’en supplie ! » Mon cri me sortit de mon rêve, j’étais dans la salle commun du centre, en sueur. Je vis la stupeur, la pitié et le mal à l’aise de mes camarades puis j’ai couru, je suis sortie de la salle, dans les couloirs j’ai bousculé tout le monde. Je me suis réfugiée dans les toilettes de troisièmes étages, celle où personne n’allait et j’ai vomi, pleuré, tremblé, sué.

« Je suis désolé pour la dernière fois, Mona, c’est aller beaucoup trop loin. Mais malheureusement, tu n’as parlé que d’une partie du problème. Tu dois me raconter celle de ton père maintenant. » Cette fois nous n’étions que tout les deux, dans son bureau. « Depuis petite, je pensais que mon père travaillait sur une plateforme pétrolière, c’est pour ça qu’il n’était jamais à la maison. Mais quand il était là, c’était la fête, j’avais toujours le droit à un cadeau. En août, deux mois après mon…ma fête d’anniversaire, une amie est revenu de New-York et elle a insisté pour me montrer une photo. C’était une photo de mon père, en costume très classe assit dans un restaurant très cher. Elle pensait que c’était son double. Meela pense que tout le monde à un double quelque part. J’ai regardé la photo et je savais que ce n’était pas son double mais lui. J’ai montré la photo à ma mère et j’ai tout de suite compris. Elle le savait. Nous n’avons pas dormit de la nuit, elle m’a tout expliqué. Ma mère était la femme de ménage des Salmon, une famille très riche de New-York mais elle était amoureuse de M. Salmon, et c’était réciproque. Elle est tombée enceinte et pour le bien de tout le monde, elle a préféré partir, emménager à Williamsburg où était sa famille. Mon père avait continué de s’occuper de nous car il était amoureux de ma mère. Le lendemain j’avais disparu, j’étais partie pour New-York. La tête qu’il a fait en me voyant, un délice. Il m’a dit qu’il était amoureux de ma mère et de l’autre femme et qu’il ne pouvait pas choisir. Il m’a laissé rentrer à Williamsburg toute seule. Vous connaissez la suite, 1 mois et demi après je sautais de ce pont. »
« Je pense que tu es prête pour sortir Mona. »

Un homme est plus fidèle au secret d’autrui qu’au sien propre ; une femme, au contraire, garde mieux son secret que celui d’autrui.

Je jouais avec le collier qu’Harry m’avait donné le soir de mes 16 ans. Oui, je l’ai gardé car il me rappelle que j’ai survécut, et que je peux survivre à beaucoup de chose. Quand Vicky, ma demi-sœur, est entrée dans ma chambre, je l’ai caché. Nous étions le jour de son 5ème mariage. Avant il y avait eu Jack, le premier je n’avais que 18 ans, puis Tobias, un canadien, j’avais 19 et demi, six mois après elle se mariait avec Joshua un australien, avec lui, on a réussi à avoir une maison en Australie et pour finir Willy, un hippie mais pourtant le plus riche qu’on a plumé. Elle se mariait avec Adam un jeune diplômé d’Harvard. « Même après 4 mariages je suis tout autant stressée. » Je me levais pour l’aider à enfiler sa lourde robe Vera Wang « Ce n’est pas tes 4 mariages précédents qui vont t’empêcher de tomber comme une grosse merde sur l’allée. » Elle a tourné la tête dans ma direction. « Merci de me réconforter ! » Je tirais sur les rubans pour serrer son corset. « Alors comment ça se passe ? » me demande-t-elle. « Mieux que prévu, il est tout juste diplômé mais il a déjà tout des grands. On doit se retrouver la veille de votre lune de miel dans un hôtel, je te passerai l’adresse et tout le reste après la réception.» Quand j’eus finit, elle se tourna vers moi, magnifique comme d’habitude. « Ils tombent tous dans le panneau, hein ? Aucun ne peut s’empêcher de tromper sa femme. » Je pris son visage dans mes mains « C’est leur nature et puis qui peut résister à ça ! » Dis-je en tournant sur moi-même. On a ri puis elle m’a passé le cintre où se trouvait ma robe. Je l’ai enfilé et elle a fermé à fermeture éclair. « Tu comptes faire quoi après celui-ci ? » Je me remis du rouge à lèvre. « Je pense partir dans notre somptueuse villa australienne, le temps que tu séduise le prochain. D’ailleurs tu préfères lequel ? Celui de Rosewood ou de Salt Lake ?» Je mis mes chaussures. « Rosewood, largement, l’autre à au moins la cinquantaine ! Mais Rosewood ce n’est pas là où vivait ta grand-mère ? » Je me levais du lit pour prendre mon sac et y mettre tout ce dont j’avais besoin. « Oui, c’est là. » Mon portable, la clef magnétique de notre suite, le rouge à lèvre. « Tu n’as pas peur…» Je pris châle. « Que tout le monde me prennent pour la salope qui couche avec le mari de sa sœur ? C’est ce que je suis ! Mais tu sais très bien que je peux tourner toute les situations à mon avantage, je trouverai un moyen. » Nous partîmes pour la cérémonie.
Comme prévu après le divorce, à l’amiable cette fois pour ne pas ruiner sa futur carrière je suis partie en Australie. Après 4 mois de vacance, j’ai pris la route pour Rosewood. Je viens juste d’arriver, encore bronzée, je compte bien revoir mes amis de vacance, et bien sur ma demi-sœur et l’heureux élu.